top of page

Il est impossible de ne pas commenter la croissance allemande de -0,3% au dernier trimestre.

  • Photo du rédacteur: Florian Chiron
    Florian Chiron
  • 25 janv. 2024
  • 2 min de lecture

Je n'ai pas envie de le faire. Cela m'ennuie profondément. Et j'en ai vu d'autres.


En 2002, et en 2003, l'Allemagne aussi a connu une lourde crise économique. Chômage, doutes, finances publiques en cale sèche. Et l'Agenda 2010 est arrivé. Un grand programme déroulé par le chancelier social-démocrate Schröder de 2003 à 2005 qui a fait du pays le champion des exportations, le ténor de la maîtrise des finances publiques (au prix d'une paupérisation de pas mal de gens), et un modèle de la transition énergétique.

J'étais en Allemagne déjà à cette époque, je n'avais ni cheveux gris, ni embonpoint, et je faisais du roller tous les mardis soir. Bref, j'étais jeune. Eh bien, ce n'était pas la joie dans l'industrie, des plans sociaux en pagaille, les Français qui rentraient au pays, la crise.


Bon, ce qu'il se passe en ce moment, à côté, c'est assez tranquille. Il y a surtout certains secteurs industriels touchés par la hausse des prix énergétiques, et le contrecoup d'une tendance lourde des économies occidentales : la baisse de la démographie. Et l'absence de croissance sensible depuis 30 ans. 1% par an en moyenne en Allemagne en 20 ans.


C'est en 2003, en pleine crise donc, que j'ai choisi de quitter mon emploi de salarié et de me mettre à mon compte. Et mon revenu a connu depuis une croissance nettement plus élevée que celle du PIB allemand (donc des autres Allemands).


Est-ce que c'est le moment de se poser la question de son avenir professionnel ?

Peut-être, oui.


Ça tombe bien, on organise le 7 février un webinaire de présentation de l'activité de conseiller financier. Ça va être sympa, j'ai choisi les meilleures intervenantes.

Venez ! C'est ici.

Comments


bottom of page