

Le conseiller, ce n'est pas le passé.
C’est le futur. C’est ce que dit la dernière étude sur les Allemands et leur argent. À l’ère des applis et des algorithmes, 75% des Allemands affirment qu’un conseil personnel reste indispensable pour réussir en Bourse. Et ils ont raison. Parce que la performance, ce n’est pas juste choisir un produit. Cela va au-delà. C’est donner du sens à sa stratégie. Les robots savent calculer. Mais ils ne savent pas écouter. Ils ne savent pas rassurer quand les marchés baissent, ni prov
il y a 24 heures1 min de lecture


L'éducation financière ne suffit pas.
46% des Allemands disent ne pas investir parce qu'ils "ne s’y connaissent pas assez", selon le Geldanlage Index. Et pourtant, jamais l’accès à l'information n'a été aussi large. Le problème n'est plus le savoir. C'est l'action. Je le vois au quotidien : les gens savent ce qu'ils devraient faire. Mais ils ne le font pas. Ils attendent le "bon moment". Ils lisent encore un article. Ils regardent encore une vidéo. Assistent à un webinaire en ligne. Et pendant ce temps-là, le tem
il y a 2 jours1 min de lecture


Vous utilisez un Neobroker ?
43% des investisseurs allemands utilisent désormais un Neobroker (Trade Republic, Scalable Capital…). Chez les jeunes, c'est presque 60%. C'est une vraie révolution : accès facilité, frais réduits, autonomie totale. Mais aussi une illusion de maîtrise. Voire une servitude. Le Geldanlage Index 2025 mesurant le lien des Allemands avec leur argent révèle que : 46% doutent de la fiabilité des conseils financiers trouvés en ligne, et 12% ont déjà perdu de l'argent à cause d'un "bo
il y a 3 jours2 min de lecture


Les grands absents de la Bourse.
Les femmes et les jeunes : les grands absents de la Bourse. D’après le Geldanlage-Index 2025, le constat est clair : 41% des hommes trouvent les placements en actions attractifs. Mais seulement 30% des femmes. Et chez les jeunes (18-29 ans), le potentiel est énorme… mais les moyens et les repères manquent. En effet, ils citent comme première raison pour ne pas investir, le manque de moyens et comme deuxième raison, le fait de se perdre dans les options possibles. Chez les plu
il y a 4 jours1 min de lecture


Les Allemands épargnent comme en 1980.
Les Allemands épargnent comme en 1980. En 2025, près d’un Allemand sur deux garde encore son argent sur un compte bancaire (Tagesgeld, Festgeld, etc.). Seulement 31% investissent en actions ou en fonds. C’est une constante que je vois chaque jour dans mon métier : la peur du risque domine encore la logique financière. Le Deutscher Geldanlage-Index 2025 le confirme : 46% des Allemands disent ne pas s’y connaître assez en finances personnelles. 44% évoquent les fluctuations bou
il y a 5 jours1 min de lecture


Le "livre noir" du gaspillage public.
Chaque année, le Bund der Steuerzahler publie son Schwarzbuch – le "livre noir" du gaspillage public. L’édition 2025/26 vient de sortir. Comme d’habitude, des tonnes d’argent public mal investi. Voici quelques perles authentiques 👇 6.500€ la quittance de police. Brême a développé une appli pour imprimer des reçus lors des contrôles d’identité. Résultat : 32 utilisations, 200.000€ de dépenses. Soit 6.500€ le papier. Coblence : centrale à gaz sans boues. Projet écologique à 1
24 oct.2 min de lecture


La retraite allemande : le piège des hauts revenus.
La retraite allemande : le piège des hauts revenus. Sur ce graphique, tout est dit. En France, un salarié garde environ 70% de son revenu à la retraite. En Allemagne, c’est 40%… et ça dégringole jusqu’à 15% quand le salaire dépasse 200.000€. Pourquoi ? Parce qu’en Allemagne, le système de retraite s’arrête à 96.600€ de revenus annuels. Au-delà ? Vous ne cotisez plus du tout. Et donc : vous ne toucherez rien non plus sur cette partie. Ce n’est pas une injustice. C’est une logi
23 oct.1 min de lecture



