"Je ne vais rien faire en Allemagne, je pars dans 2 ans."
- Florian Chiron
- 26 juin 2023
- 1 min de lecture
Alexandre, 32 ans, depuis 8 ans en Allemagne.
Le classique. Le procrastinateur.
Il disait ça à 24 ans, à 26 ans, à 30 ans, il dit toujours ça. Dans 5 ans, il dira encore ça.
Pendant ce temps que perd-il ?
A force de ne pas se fixer, ou de ne pas vouloir se fixer, il passe à côté :
De possibilités d'épargne défiscalisante qui lui feraient gagner plus de 4.000€ par an.
De la possibilité de sécuriser un taux de 0,95% pour un achat immobilier.
D'épargne dynamique et flexible, dans des supports maigrement imposés.
Oui, car il entasse son argent sur son compte courant. Et comme il n'a pas d'objectif de vie au-delà de 2 ans, il dépense son argent. Il navigue à vue.
Il a tort.
A un moment donné, il faut accepter qu'on va rester plus longtemps que prévu en Allemagne.
Et commencer à organiser son patrimoine de manière à ce qu'un retour en France ne pose pas de problème.
Par exemple, pour les solutions ci-dessus, il peut :
Continuer à déduire les cotisation de son épargne retraite allemande de son revenu imposable français.
Utiliser le crédit à 0,95% pour un achat en France.
Continuer son épargne dynamique ou la transférer en France.
En fait, il n'y a pas de problème à ne pas se fixer. Juste des prétextes.
Chaque année passée en Allemagne est source d'avantages financiers et fiscaux.
Vous ne savez pas combien de temps vous restez en Allemagne ? Vous hésitez pour ces raisons à mettre votre patrimoine sur de bons rails ? Peu importe, contactez-moi !
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