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Le coût prohibitif de la procrastination

  • Photo du rédacteur: Florian Chiron
    Florian Chiron
  • 26 sept. 2022
  • 1 min de lecture

J'ai des clients qui "veulent réfléchir" ou lire 200 pages de documentation, ou comparer une solution avec 1000 autres.

Je les laisse faire. Bien sûr, commercialement, je ne lâche pas un client comme ça. Ce ne serait pas sympa pour lui. Car en effet, ces procrastinateurs ont un point commun : ils mettent des années à prendre une décision, si tant est qu'ils la prennent.

Pendant ce temps, ils ne sont ni assurés, ne préparent pas leur retraite et ne se constituent pas un patrimoine.

Pire encore, plus le temps passe, plus le coût de commencer à faire quelque chose est élevé.

Jugez plutôt : une épargne de 500 € par mois à 5% ramène au bout de 30 ans 410.000 €, soit 180.000 € investis pour 230.000 € de gains.

Et bien si notre client se réveille un jour de son hibernation procrastinatrice, disons 3 ans plus tard, il devra investir, pour atteindre le même résultat…

608 €. Sur 27 ans il aura dû épargner 197.000 €, soit 17.000 € de plus que s'il avait commencé 3 ans plus tôt.

Bref il a perdu 500 € par mois. Alors qu'il aurait pu les épargner.

Donc soit vous épargnez dans des solutions intéressantes, soit vous jetez le même argent dans un puits.

En finance, le meilleur moment pour épargner, c'est maintenant.

C'est la magie des intérêts composés : les intérêts composés sont la huitième merveille du monde. Celui qui le comprend s'enrichit ; celui qui ne le comprend pas, le paie.

Moi, je préfère que mes clients s'enrichissent.

Et vous, vous commencez quand ?

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