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Le PSG a gagné la Ligue des champions. Enfin.

  • Photo du rédacteur: Florian Chiron
    Florian Chiron
  • 2 juin
  • 2 min de lecture

Et si c’était… une leçon de finances personnelles ?


Samedi, j’étais chez des amis voir le match.

Bières.

Saucisses.

Foot.

Un match incroyable. Des émotions folles.

Un Remake du 1-2-3 zéro face au Brésil en 1998 ou du 7-1 de la Mannschaft contre le même Brésil en 2014.

Bref, fantastique.


Mais au-delà de ça, une réflexion sur le modèle économique parisien s’impose. Quelles leçons en tirer pour soi-même.


Phase 1 : le coup de folie post-hausse de revenus.


2011 : le Qatar rachète le PSG. D’un coup, les revenus explosent. Et le club dépense sans trop réfléchir : Zlatan, Cavani, Neymar, Messi, Mbappé…


C’est le profil classique du jeune cadre dynamique qui découvre un beau salaire et qui :

– Achète une belle voiture.

– Part en week-end à Ibiza.

– Investit au hasard (NFTs, cryptos, apparts à rendement "garanti 12%", ETF mal choisis).


Objectif ? Briller. Faire comme les autres. Gagner vite.

Mais au fond, pas de vision. Et le "titre" (la Ligue des champions) n’arrive jamais.


Résultat : beaucoup de moyens. Aucun aboutissement au niveau européen.


Phase 2 : la désillusion.


Des années à dépenser dans les "stars", pour finir par sortir en 8e il y a 2 ans. La fin d’une époque.


Comme un particulier qui gagne bien sa vie, mais qui, 10 ans plus tard… n’a pas un euro de côté.


Phase 3 : la stratégie.


2023 : le PSG change.

Fini les égos. Place au collectif, au jeu, au travail tactique.

Luis Enrique devient coach. Mbappé s’en va.

Des jeunes apparaissent, les rôles sont équilibrés.

Et là, ça fonctionne.


Résultat : Ligue des champions. 5–0 en finale. Une démonstration. Après tant de victoires précédemment.


Bon, quel rapport avec votre patrimoine ?


Gagner de l’argent, c’est une chance.

Le garder et le faire fructifier, c’est une stratégie.


Vous pouvez continuer à courir après les produits à la mode.

Ou construire un plan solide, cohérent et durable.


  1. Un bon coach (financier).

  2. Des actifs complémentaires (immobilier, ETF, assurance retraite…).

  3. Une gestion du risque (protection famille, fiscalité).

  4. Et une vision sur le long terme.


Le PSG a attendu 14 ans. Vous pouvez faire mieux.


Appelez-moi Luis*. Et appelez-moi tout court. C'est par ici.


*Enrique, pas "Mon petit bonhomme".

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