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Le vélo devient un objet de luxe.

  • Photo du rédacteur: Florian Chiron
    Florian Chiron
  • 9 mai
  • 1 min de lecture

Et les voleurs ne s’y trompent pas.


En 2024, les assureurs allemands ont versé 160 millions d’euros pour des vols de vélos.

C’est 10 millions de plus qu’en 2023, avec moins de vols déclarés (135.000 contre 145.000 l’année d’avant). Contre 254.000 vols de voitures.


Pourquoi ? Parce que la valeur moyenne d’un vélo volé a explosé :

  • 480€ en 2014

  • 780€ en 2020

  • 1.190€ en 2024


Et on parle ici de valeurs remboursées, donc souvent bien inférieures aux prix réels.


Mon expérience de gars qui n’a plus de voiture depuis 4 ans : un bon vélo, c’est plus qu’un moyen de transport.

C’est un outil du quotidien, une sensation de liberté, et une bonne manière de se maintenir en forme. Et quand on voit le prix que coûte une voiture; une sacrée économie.


Je roule par tout temps. Sur la photo, je suis sur la Côte d’Azur, on m’avait promis le soleil.


J’ai deux bicyclettes + un vélo cargo.

Et je me suis déjà fait voler deux vélos.


À chaque fois, j’ai pu compter sur mon assurance pour me rembourser. Se dire qu’on peut se racheter un vélo demain matin est confortable. Un bon enrichissement personnel passe par une protection de ses avoirs.


Alors que les vélos coûtent désormais une blinde, la moitié ne sont ni bien cadenassés, ni bien assurés. Ça se passe via une Hausratversicherung. On aide au cabinet de nombreux cyclistes victimes de vols.


Petit conseil d’ami : si votre vélo vaut plus qu’un week-end à deux, assurez-le.


Et profitez bien du printemps pour vous promener !



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