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Ma cliente, indépendante, versait 900€ par mois pour son assurance-maladie allemande.

  • Photo du rédacteur: Florian Chiron
    Florian Chiron
  • 19 août 2024
  • 2 min de lecture

Pourtant, elle a des prestations médiocres.


Plus elle gagne, plus elle paye. Limite, elle n'a pas envie de bosser.

Pourtant, elle adore son métier.


Que faire quand on est indépendant.e et qu'on doit payer 18% de son revenu à la caisse maladie publique ? Casquer en pleurant, arrêter de travailler, ou chercher une alternative ?


J'ai proposé une solution.


Elle reste assurée dans le système public, c'est important pour elle.

Je lui ai préconisé la CFE, la Caisse des Français de l'Étranger. Elle la couvre à un niveau médiocre, certes, mais grâce à une complémentaire adaptée, elle bénéficiera bientôt de prestations Premium : à l'hôpital, en médecine générale, en dentaire, en optique.


S'assurer en France quand on vit en Allemagne ? "Mais c'est interdit", ai-je entendu 100 fois, 1000 fois, de la part de spécialistes autoproclamés.


Et pourtant, la CFE est autorisée en Allemagne au titre de la réglementation européenne.

Cependant, il faut lui adjoindre une complémentaire santé (enregistrée auprès de la BaFin, le régulateur allemand de l'assurance) afin de répondre aux exigences législatives allemandes.

Il faut aussi y ajouter une assurance dépendance obligatoire (sous peine de se prendre de lourdes amendes en Allemagne). Un seul assureur en propose une sans obliger les assurés à prendre une assurance-santé avec. Ça tombe bien, je bosse avec. C'est Generali l'assureur, mais ne le dites à personne.


Résultat des courses : elle va payer 320€ par mois.

600€ d'économisés. En étant mieux assurée.

600€ qu'elle va pouvoir investir pour sa retraite, pour sa constitution de patrimoine.


Je devrais me faire payer en pourcentage de ce que je fais gagner au client, moi.


En attendant, si vous êtes Français.e en Allemagne et que vous avez moins de 40 ans, vous avez peut-être intérêt à passer dans le privé. Participez au webinaire animé par mes associés Mélanie Perez et Max Faller pour en savoir plus sur le sujet. C'est le lundi 26.08 à 19h et c'est gratuit, inscrivez-vous par ici !

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