On compte 1,4 enfant par femme en Europe.

1,4 enfant par femme en Europe : le vrai krach est démographique.

Et dans le monde ? 2,3 enfants par femme.

Vertigineux, quand on sait qu’on était à 2,73 en 2000.

On a longtemps cru que la population mondiale allait exploser.

On voit encore traîner des mèmes sur cette croissance soi-disant galopante.

Mais comme on dit : mieux vaut regarder la lune que le doigt.

Finalement, c’est peut-être la population qui va imploser.

Et avec elle, nos modèles de retraite, de dette publique… et de croissance.

Il faut 2,1 enfants par femme pour maintenir une population.

France : 1,6.

Allemagne : 1,4.

Italie : 1,2.

Chine : 1.

Corée du Sud : 0,7.

(Et même au Nigeria, on est passé de 6 à 4,5 en 20 ans. Au Maroc, de 5,5 à 2 en 40 ans.)

Résultat ? Moins d’enfants. Moins d’actifs. Moins de cotisants.

Le système des retraites vacille.

La croissance patine.

Les dettes deviennent… impayables.

On croyait vivre dans une pyramide des âges.

C’est une pyramide de Ponzi.

Ou pire : une toupie. Large au milieu. Maigre en bas.

Lu récemment dans Les Échos :

"Il faut sortir des schémas dans lesquels la croissance supposée infinie de la population permet d’honorer ses dettes ou payer de justes pensions."

En Allemagne, la population en âge de travailler diminue déjà.

En Chine, elle baissera de 20% d’ici 2050.

Et partout ailleurs, la tendance est lancée.

Traduction : moins de monde pour faire tourner le système.

Donc… soit on saigne davantage les travailleurs, soit on coupe dans les prestations.

Alors que faire ?

Collectivement : chantier titanesque.

Individuellement : la voie est claire.

On ne pourra plus compter uniquement sur l’État pour vivre ses vieux jours.

Constituer un patrimoine devient une nécessité.

Revenus passifs. Placements solides. Stratégie patrimoniale.

Ceux qui s’y préparent auront une longueur d’avance.

Parce que oui :

Le vrai krach à venir ne sera pas boursier.

Il sera démographique.

Et patrimonial.

On en parle ? C’est ici.