top of page

Rachat de Blackrock : comment gérer vos ETF ?

  • Photo du rédacteur: Florian Chiron
    Florian Chiron
  • 11 mars
  • 1 min de lecture

Ce que veut dire le rachat de Blackrock à vil prix des installations portuaires du canal de Panama.


Vous avez peut-être vu passer la nouvelle. Hutchinson, le conglomérat chinois qui possédait les 2 ports du canal de Panama, a profité de l'effet Barnum médiatico-trumpien pour vendre quelques ports pour 19 milliards. Dont ceux du Panama.

Le deal, est selon tous les analystes, très bon pour les Chinois.


Blackrock s’est plié aux injonctions du président, qui installe son système féodal.

Blackrock, c’est le plus gros gérant d’actifs au monde, notamment d’ETF.


Donc clairement, en investissant chez Blackrock, on satisfait les exigences géopolitiques de Donald Trump. Quitte à perdre quelques milliards.


Je n’ai pas la prétention à moi seul de changer la marche du monde, 8 milliards de personnes se contrefichent de ma misérable existence (et de la vôtre, chère lectrice, cher lecteur), mais je vais y contribuer ainsi : je n’investirai plus dans des supports financiers gérés par des Américains.

Aucune confiance déjà dans un pays féodal dirigé par des gangsters. Aucune confiance dans des gérants d’actifs dont les décisions ne sont pas économiques.


Il y a, pour tout investissement en ETF, des alternatives.


Donc on supprime des portefeuilles les ETF suivants :

  • iShares (Blackrock)

  • Vanguard

  • SPDR (State Street)


Et on les remplace par :

  • Amundi (Français)

  • Lyxor (Français)

  • Xtrackers (Allemand)

  • UBS (Suisse)

  • HSBC (Britannique)


Voilà, ce n’est pas compliqué.


Accessoirement, on évite de trop investir aux USA, mais ça, j’en ai parlé les journées précédentes.


Pour un conseil de qualité, adapté aux soubresauts géo-économiques mondiaux, c’est ici.

Comments


bottom of page