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Une discussion qui remet les idées au clair.

  • Photo du rédacteur: Florian Chiron
    Florian Chiron
  • 4 avr.
  • 2 min de lecture

Hier soir, j’ai parlé avec une femme qui a fui l’Ukraine.


Elle a choisi de quitter l’Ukraine au début de la guerre avec son enfant. Un sac, quelques papiers, un peu de cash, une carte de crédit.

La Pologne, puis Hesse. Aujourd’hui, elle reconstruit sa vie, avec courage. En travaillant en home office pour une boîte ukrainienne dans le médical.

Et elle s’intéresse aux finances personnelles.


Cette discussion m’a remis les idées au clair.

Trois vérités simples. Brutales. Incontournables.


  1. Sans argent de côté, on reste coincé.

Coincé sous les alertes, les missiles, les coupures d’électricité.

Certains de ses proches n’ont pas voulu partir. Pourquoi ? Parce qu’ils n’avaient rien.

Pas besoin de millions. Mais quelques milliers d’euros peuvent changer un destin.

Si vous ne pouvez pas poser 10.000 ou 20.000€ sur la table en cas de guerre, de crise, ou de "victoire de la gauche" (comme ironisait Renaud), vous êtes à nu.


  1. L’immobilier, c’est du béton. Jusqu’à ce que ça parte en poussière.

Un appartement à Kiev, ce n’est plus une sécurité. C’est une cible.

Et l’assurance ? Elle ne couvre pas les actes de guerre.

Demandez aux héritiers des fortunes immobilières allemandes d’avant 39.

Il leur est resté… des gravats. Parfois un terrain. S’il a été déminé.


  1. L’argent en banque, oui. Mais pas n’importe où.

Si la Russie venait à contrôler les banques ukrainiennes, les comptes seraient saisis.

C’est déjà arrivé, ici ou là. Ça arrivera encore.

Voilà pourquoi les milliardaires américains fuient vers la Suisse.

Parce que les banques sans droits, c’est la roulette russe.


Conclusion ?

Ayez du cash. Un peu d’or. Un patrimoine diversifié.

Mais surtout : investissez dans votre résilience personnelle.

Car le monde est instable. Et l’instabilité n’est pas un scénario…

C’est déjà la réalité de millions de personnes.

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