Comment garantir la sécurité financière de mes clients ?
- Florian Chiron
- 22 juil.
- 2 min de lecture
Trois questions que je pose souvent :
Comment maintenir son niveau de vie… quoi qu’il arrive ?
Comment continuer à payer ses frais fixes, même si les revenus baissent ?
Comment avancer sans avoir la boule au ventre chaque fin de mois ?
Aujourd’hui : la sécurité financière.
Après la protection financière vue les derniers jours (filet de sécurité, assurance, réserve d’urgence), vient l’étape suivante de la pyramide.
La sécurité financière, c’est :
Ne jamais baisser son niveau de vie.
Ne dépendre de personne pour payer ses charges.
Et bonne nouvelle : le fisc vous aide à la construire, si vous vous y prenez bien 😉
Cette sécurité est accessible à tous.
Et les prochains jours, je vous montrerai comment.
Étape 1 : la retraite
Premier danger pour votre niveau de vie : la retraite.
En Allemagne, la retraite publique, c’est en moyenne 45% du dernier salaire.
De mon point de vue, un retraité a besoin d’au moins 90% de son revenu net pour vivre correctement.
Pourquoi ?
Parce que non, on ne baisse pas son train de vie du jour au lendemain.
Seules certaines charges disparaissent (ex : cotisations retraite ou prévoyance), mais le reste reste.
Demain : je vous montre comment préparer votre retraite tout en payant moins d’impôts.
Étape 2 : les revenus passifs
Deuxième danger : une baisse durable de vos revenus (chômage, arrêt, reconversion…).
L'objectif est donc, dès que possible, de mettre en place des revenus passifs qui couvrent vos frais fixes :
Logement
Transport
Assurances
Impôts récurrents
Beaucoup de mes clients se fixent un cap clair : atteindre la sécurité financière à 40 ou 50 ans.
Certains touchent déjà plus de 1.000€ nets d’impôts par mois, sans lever le petit doigt.
Tranquille. Durable. Prévisible.
Après-demain : on parlera de comment construire ce capital qui verse, chaque mois, sans stress, un revenu complémentaire.
Envie d’avancer méthodiquement vers votre liberté financière ?
C’est exactement ce que je propose à mes clients.
Écrivez-moi, la première étape, c’est d’en parler.
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