Comment protéger le patrimoine qu'on a mis des années à construire ?
- Florian Chiron
- 21 juil.
- 2 min de lecture
Vous avez sûrement déjà vu ces appels à la solidarité :
"Maison incendiée. Famille a tout perdu. Besoin d’aide."
Évidemment, ça touche.
Mais une pensée me traverse toujours l’esprit :
Pourquoi n’étaient-ils pas assurés ?
Des années sans s’assurer, puis pleurer…
Ne pas mettre quelques dizaines d’euros pour se protéger du pire, c’est une erreur.
Et une erreur évitable, avec un peu de prévoyance… ou un bon conseiller.
Comment repérer les bons risques à couvrir ?
Imaginez : vous percutez un piéton à vélo.
Résultat :
Votre vélo est cassé.
Vous êtes blessé.
Le piéton aussi.
Et ses vêtements sont ruinés.
Qu’est-ce qui compte le plus ici ?
C’est le dommage causé à l’autre qu’il faut prioriser.
Une action peut coûter… plusieurs millions.
C’est pour ça que la responsabilité civile est non négociable.
Pour votre propre blessure, ce fut le sujet hier, cela fait partie des assurances à la personne.
En simplifiant, on peut classer les risques ainsi :
Vous endommagez quelqu’un d’autre (ou ses biens) : RC obligatoire. Ne pas l’avoir, c’est jouer à la roulette russe.
Vos propres biens sont touchés (incendie, vol, dégâts d’eau…) : à assurer si vous ne pouvez pas les remplacer facilement (ex : maison).
Petits objets ? Un vélo cabossé, ça se répare. Pas besoin d’assurance pour tout.
Conflit juridique ? L’assurance juridique prend le relais. Honoraires d’avocat, frais de justice, procédures longues… Elle évite d’abandonner ses droits juste par peur du coût.
Le problème : beaucoup sont mal assurés.
Vieux contrats.
Garanties inadaptées.
Couvertures à trous.
Zéro accompagnement.
Et au moment du pépin… c’est trop tard.
Bien s’assurer, c’est protéger ce qu’on a construit, mais aussi se sentir en sécurité au quotidien.
Vous ne savez pas si vous êtes bien protégé ? Contactez-moi, on fait le point.
Demain : la sécurité financière, et comment maintenir durablement son niveau de vie.
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