top of page

La retraite allemande : le piège des hauts revenus.

  • Photo du rédacteur: Florian Chiron
    Florian Chiron
  • 23 oct.
  • 1 min de lecture

La retraite allemande : le piège des hauts revenus.

Sur ce graphique, tout est dit.


En France, un salarié garde environ 70% de son revenu à la retraite.

En Allemagne, c’est 40%… et ça dégringole jusqu’à 15% quand le salaire dépasse 200.000€.


Pourquoi ?

Parce qu’en Allemagne, le système de retraite s’arrête à 96.600€ de revenus annuels.


Au-delà ? Vous ne cotisez plus du tout.

Et donc : vous ne toucherez rien non plus sur cette partie.


Ce n’est pas une injustice.


C’est une logique purement assurantielle :

  • Tu cotises, tu touches.

  • Tu ne cotises pas, tu ne touches pas.


Résultat :

Les classes moyennes ont une retraite faiblarde (43,5% de leur revenu).

Les hauts revenus, eux, sortent quasi du système public.


Et là, deux options :

  1. Soit tu n’as rien prévu… et tu te réveilleras à 67 ans avec 20% de ton dernier salaire,

  2. Soit tu as construit ton propre "système B" : patrimoine, immobilier, assurance-vie, investissements financiers, rente privée…


En Allemagne, l’État ne s’occupe pas des riches.

À eux de le faire eux-mêmes.


C’est brutal, mais c’est sain.

Et ça explique pourquoi les Allemands malins ont commencé à préparer leur retraite à 30 ans, pendant que les Français comptaient sur "le système".


Moralité :

Si vous gagnez plus de 8.000€ par mois et que vous vivez en Allemagne, votre retraite dépend uniquement de ce que vous avez déjà commencé à construire.


Dans tous les cas… il est temps d’appuyer sur "Démarrer". Et de me contacter.


ree

Commentaires


bottom of page