Le paradoxe absurde de la finance.
- Florian Chiron

- 30 sept.
- 1 min de lecture
Le paradoxe absurde de la finance : on laisse son argent chez les incompétents.
L’histoire de Damien.
Damien vit en Allemagne. Il a besoin de son argent placé sur une assurance-vie peu performante dans une grande banque française (celle qui commence par Socié et finit par érale).
Il fait la demande de rachat.
Trois semaines plus tard : toujours rien.
Des papiers en plus. Des signatures à refaire. Des interlocuteurs aux abonnés absents. Une hotline qui raccroche au nez.
À ce niveau, ce n’est plus de la maladresse. C’est intentionnel.
(Et encore, on ne lui a pas servi le fameux "votre contrat n’a pas 8 ans", big bullshit).
Finalement, c’est moi qu’il appelle. Parce que je décroche. Parce que je suis disponible. Parce que je règle les problèmes.
Le chemin du moindre effort. Logique.
C’est un grand classique dans mon métier : les clients préfèrent m’appeler quand ils ont besoin de liquidités plutôt que d’aller se battre contre leur banque.
Et c’est là que le paradoxe me saute au visage :
L’argent reste coincé chez des incapables…
Tandis que le conseiller compétent risque de perdre en actifs sous gestion et donc en rémunération.
Les nuls sont récompensés.
Voilà pourquoi je demande à mes clients de prendre leurs liquidités ailleurs quand ils en ont besoin. Et je les accompagne.
Car un bon conseiller ne sert pas seulement à faire fructifier votre patrimoine.
Il doit aussi rendre votre argent accessible. Simple. Rapide. Sans stress.
Faites un test : essayez de récupérer 1.000€ de chacun de vos placements.
Si ça traîne trop, enlevez tout.
Et si vous cherchez un conseiller compétent, contactez-moi.






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