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Acheter ou ne pas acheter ?

  • Photo du rédacteur: Florian Chiron
    Florian Chiron
  • 12 juin
  • 1 min de lecture

Ces clients vont gagner 850€ par mois de revenus passifs.

Sans rien faire, mains dans les poches.


Jusqu’ici, leur argent traînait sur des comptes sur livrets. Dont les taux dégringolent.


La discussion était : acheter ou ne pas acheter pour eux ?

Cette décision, maintes fois reportée, a immobilisé leur capital de longues années.


Jusqu’à constater que :

  • Leur logement actuel leur convient, en location.

  • Une maison comme ils le souhaitent coûte 1,5 millions.

  • Leurs enfants vont bientôt quitter le nid familial.

  • Bref, la maison sera vite trop grande.


Acheter leur résidence principale va cramer énormément d’argent.


En revanche, un achat immobilier locatif présente les avantages de l’immobilier sans les contraintes ci-dessus.

Et une récupération d’impôt massive.


Mon idée :

  • Financer un investissement locatif au maximum (sans apport ou juste les frais).

  • Investir le cash de manière à générer des revenus passifs.

  • Avec ces revenus, financer le différentiel entre le crédit immobilier et le loyer.


C’est futé.

Car d’un côté le placement que je leur propose rapporte 6% de revenus par an (dividendes + intérêts). Après impôt, presque 5%.

De l’autre côté, leur crédit leur coûte 4% d’intérêts. Après impôt (les intérêts sont déductibles fiscalement), 2,2%.


Donc, mes clients auraient pu mettre leur cash en apport. Ça leur aurait rapporté 2,2% (l’économie d’intérêts).

Et bien, bonne décision, ils obtiennent du 5%.


C’est aussi ça le conseil patrimonial. Gagner du rendement grâce au levier fiscal et au levier financier.


Si la perspective de revenus récurrents vous intéresse, contactez-moi !

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