J'ai fait un Survival Camp avec le boulot.
- Florian Chiron

- 22 sept.
- 1 min de lecture
Juste avant d’être invité à voir la Ligue des Champions à Francfort.
Sympa ce boulot. La DVAG m’a embarqué mercredi dernier dans un camp de survie (très tendance en ces temps de guerre, qui sait…) avec mon associé Max Faller. Puis jeudi, direction le foot : Francfort a étrillé Galatasaray 5-1. Moi, j’étais peinard dans la loge, un verre de crémant à la main.
C’est ça, le côté agréable du job : faire des trucs qu’on ne ferait jamais autrement.
Le Survival Camp ? Bon, je vais vous décevoir : le titre fait plus peur que la réalité. On a quand même appris à allumer un feu avec une pierre à feu, construire une cabane, trouver à manger dans la cambrousse, faire bouillir de l’eau avec trois bouts de ficelle… La nuit s’est passée dans une yourte, sur un lit de camp.
Le pire ? Le matelas dur, le froid, les bêtes sauvages ? Que nenni.
Le vrai cauchemar : les avions qui passaient en continu au-dessus de nous, l’aéroport de Cologne n’étant pas loin. Impossible de fermer l’œil après 3h du matin. Bien joué, la civilisation.
Heureusement, le lendemain, retour au confort moderne : le stade, toujours avec Max (un des meilleurs conseillers DVAG de moins de 5 ans, bravo à lui !). Et moi, son formateur, j’ai eu droit à un ticket. Loge, repas, boissons, places parfaites : la totale.
C’est une vraie reconnaissance de pouvoir vivre ce genre d’expériences, gratuitement. Peu d’entreprises le proposent.
Si notre activité vous intrigue, on organise mercredi 24.09 un webinaire de présentation de notre métier (en français).
















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